La représentation du samedi 22 mars sera proposée en audiodescription en direct.
Qu’il enchaîne les tragédies de Sophocle à six heures du matin dans un jardin ou qu’il joue Shakespeare à grande vitesse, les spectacles de Gwenaël Morin donnent l’impression de s’inventer sur le vif.
Avec ce Quichotte d’un genre nouveau, variation libre du roman épique de Cervantes, il part à l’assaut de la littérature pour penser les utopies d’aujourd’hui. Loin d’être une œuvre humaniste, spirituelle et douce, Don Quichotte est pour lui empreint de beaucoup de cruauté. Au regard d’une société normée, utilitariste, sans utopie, étroite et craintive, l’hidalgo qui voulut vivre comme dans les romans de chevalerie est différent. Il est fou, inutile, et donc méprisable. Et pourtant sa différence est une dimension de notre humanité.
Morin s’empare du chef-d’œuvre de Cervantes entouré par une équipe fantasque : Jeanne Balibar en héroïne picaresque, Marie-Noëlle qui campe sa monture, Thierry Dupont en Sancho Panza et lui-même dans le rôle de l’âne portant fardeau…
Avec la promesse, une nouvelle fois, de tout mettre sens dessus dessous et d’éprouver le théâtre au contact de la vie.
Quichotte
Théâtre
Cervantes / Gwenaël Morin / Théâtre permanent
La représentation du samedi 22 mars sera proposée en audiodescription en direct.
Qu’il enchaîne les tragédies de Sophocle à six heures du matin dans un jardin ou qu’il joue Shakespeare à grande vitesse, les spectacles de Gwenaël Morin donnent l’impression de s’inventer sur le vif.
Avec ce Quichotte d’un genre nouveau, variation libre du roman épique de Cervantes, il part à l’assaut de la littérature pour penser les utopies d’aujourd’hui. Loin d’être une œuvre humaniste, spirituelle et douce, Don Quichotte est pour lui empreint de beaucoup de cruauté. Au regard d’une société normée, utilitariste, sans utopie, étroite et craintive, l’hidalgo qui voulut vivre comme dans les romans de chevalerie est différent. Il est fou, inutile, et donc méprisable. Et pourtant sa différence est une dimension de notre humanité.
Morin s’empare du chef-d’œuvre de Cervantes entouré par une équipe fantasque : Jeanne Balibar en héroïne picaresque, Marie-Noëlle qui campe sa monture, Thierry Dupont en Sancho Panza et lui-même dans le rôle de l’âne portant fardeau…
Avec la promesse, une nouvelle fois, de tout mettre sens dessus dessous et d’éprouver le théâtre au contact de la vie.
Avec Jeanne Balibar, Thierry Dupont • interprète de la Compagnie de l’Oiseau-Mouche, Marie-Noëlle, Gwenaël Morin • Mise en scène, scénographie Gwenaël Morin • Assistant à la mise en scène Léo Martin • Lumières Philippe Gladieux • Travail vocal Myriam Djemour • Direction de production, tournées EPOC productions Emmanuelle Ossena, Charlotte Pesle Beal, Lison Bellanger.
Production déléguée Compagnie Gwenaël Morin / Théâtre Permanent en co-production avec Festival d’Avignon, La Villette Paris, TnBA Théâtre National de Bordeaux en Aquitaine, Bonlieu Scène Nationale d’Annecy, Théâtre Garonne Toulouse, Les Célestins-Théâtre de Lyon, Théâtre du Bois de l’Aune Aix en Provence, Théâtre Sorano, scène conventionnée Toulouse. La compagnie Gwenaël Morin – Théâtre Permanent est conventionnée par la DRAC Auvergne- Rhône-Alpes. Gwenaël Morin est artiste associé au TnBA-CDN de Bordeaux et à Bonlieu, scène nationale Annecy. L’Oiseau-Mouche Roubaix est en production déléguée pour Thierry Dupont. Résidences de création au TnBA de Bordeaux, à la Ménagerie de Verre Paris dans le cadre du dispositif StudioLab, à la Villette Paris, au Festival d’Avignon (Jardin de Mons-Maison Jean Vilar).