Ce spectacle inclassable est un récit initiatique, celui de la construction d’une jeune femme, Estelle Meyer, avec en creux la protection et le regard de la célèbre avocate féministe Gisèle Halimi. Est-ce une grâce ou une fatalité d’être née femme ? Et comment alors déjouer les injonctions ?
Niquer la fatalité ? Niké, c’est aussi la déesse de la Victoire chez les grec·que·s. Comment exploser les moules préétablis pour s’appartenir enfin et créer une vie libre ? Dans ce dialogue d’amour avec une Gisèle Halimi morte et vivante à la fois, réelle et pourtant rêvée, un chemin de confidences et de révolte s’ouvre pour réinventer humblement et puissamment ce que c’est que d’être vivant·e·s. “Entendez-vous le chant des femmes ?”
Il y a chez Estelle Meyer la Rayonnante tout un continent qui demande à crier, à chanter, à guérir, à dire. Le continent femme. Déployant tous les registres (récit intime, lettres, adresse directe au public, chansons, poèmes, invention d’un rituel…), elle fait jaillir d’une expérience collective un baume consolatoire, une fête réparatrice, et sans nul, doute une joie communicative et galvanisante
Niquer la fatalité – Chemin(s) en forme de femme
Théâtre
Estelle Meyer / Margaux Eskenazi / Phénomènes
Théâtre Sorano
Durée 1h45
Ce spectacle inclassable est un récit initiatique, celui de la construction d’une jeune femme, Estelle Meyer, avec en creux la protection et le regard de la célèbre avocate féministe Gisèle Halimi. Est-ce une grâce ou une fatalité d’être née femme ? Et comment alors déjouer les injonctions ?
Niquer la fatalité ? Niké, c’est aussi la déesse de la Victoire chez les grec·que·s. Comment exploser les moules préétablis pour s’appartenir enfin et créer une vie libre ? Dans ce dialogue d’amour avec une Gisèle Halimi morte et vivante à la fois, réelle et pourtant rêvée, un chemin de confidences et de révolte s’ouvre pour réinventer humblement et puissamment ce que c’est que d’être vivant·e·s. “Entendez-vous le chant des femmes ?”
Il y a chez Estelle Meyer la Rayonnante tout un continent qui demande à crier, à chanter, à guérir, à dire. Le continent femme. Déployant tous les registres (récit intime, lettres, adresse directe au public, chansons, poèmes, invention d’un rituel…), elle fait jaillir d’une expérience collective un baume consolatoire, une fête réparatrice, et sans nul, doute une joie communicative et galvanisante
Conception, écriture, interprétation Estelle Meyer • Mise en scène et dramaturgie Margaux Eskenazi • Composition musicale Estelle Meyer, Grégoire Letouvet et Pierre Demange • Arrangements musicaux Grégoire Letouvet et Pierre Demange • Création lumière Pauline Guyonnet • Création costumes Colombe Lauriot Prévost • Scénographie James Brandily • Chorégraphie Sonia Al Khadir • Piano, clavier Grégoire Letouvet en alternance avec Thibault Gomez • Batterie, percussions Pierre Demange en alternance avec Maxime Mary • Régie son et direction technique Thibaut Lescure en alternance avec Guillaume Duguet • Régie lumière Pauline Guyonnet en alternance avec Fanny Jarlot • Collaboration, accompagnement et développement Carole Chichin • Diffusion Séverine André-Liebaut.
Production : Phénomènes CoProduction : La Familia, le Théâtre Antoine Vitez à Ivry-sur-Seine, Théâtre des Îlets – Centre Dramatique National de Montluçon, les Plateaux Sauvages, l’ECAM – Espace culturel André Malraux, l’Atmosphère – Espace culturel de Marcoussis. Avec l’accompagnement et le soutien technique : le Pavillon – Théâtre de Romainville, le Centre culturel Houdremont – ville de la Courneuve, Châteauvallon – Liberté – scène nationale Toulon, la Maison de la Poésie – Scène littéraire, Les Malassis – Théâtre de Bagnolet.
Avec le soutien : le Fonds SACD Musique de Scène, du département du Val de Marne, de la DRAC Île de France et de l’Adami.