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La pièce est une quête poétique sur la question des origines. Quatre personnages, père, mère, fille et frère, sont confrontés au dévoilement d’un secret : la fille apprend que son père n’est peut-être pas son père biologique. Bouleversée, elle plonge dans la tempête de son existence, quitte à devenir étrangère à elle-même. En décidant désormais où regarder et ce qu’elle voit, elle va se construire une identité imaginaire née de ses choix. À partir de cette trame narrative, Lucie Lataste invite à une expérience singulière et bouleversante. Dans un espace dépouillé, les quatre interprètes au plateau écrivent un théâtre gestuel et somatique, en langue des signes. Quelques cadres de fenêtre suspendus créent des espaces de vie, des paysages, et laissent voir cette langue silencieuse. En contrepoint, une voix off qui dit la pensée de la jeune fille et la musique d’un violoncelle accompagnent. Dans cette alchimie sensible entre corps, voix et mélodie, la langue des signes devient l’instrument d’une découverte du théâtre de l’origine.

Saison 24/25
Jeudi 23 janvier • 19h, vendredi 24, mardi 28, mercredi 29, jeudi 30 janvier • 20h et samedi 25 janvier • 18h

Je préfère regarder par la fenêtre

Théâtre

Lucie Lataste / Compagnie DDS


ThéâtredelaCité

Durée estimée 1h20

Spectacle présenté avec et au ThéâtredelaCité et avec le Théâtre du Grand Rond.


La pièce est une quête poétique sur la question des origines. Quatre personnages, père, mère, fille et frère, sont confrontés au dévoilement d’un secret : la fille apprend que son père n’est peut-être pas son père biologique. Bouleversée, elle plonge dans la tempête de son existence, quitte à devenir étrangère à elle-même. En décidant désormais où regarder et ce qu’elle voit, elle va se construire une identité imaginaire née de ses choix. À partir de cette trame narrative, Lucie Lataste invite à une expérience singulière et bouleversante. Dans un espace dépouillé, les quatre interprètes au plateau écrivent un théâtre gestuel et somatique, en langue des signes. Quelques cadres de fenêtre suspendus créent des espaces de vie, des paysages, et laissent voir cette langue silencieuse. En contrepoint, une voix off qui dit la pensée de la jeune fille et la musique d’un violoncelle accompagnent. Dans cette alchimie sensible entre corps, voix et mélodie, la langue des signes devient l’instrument d’une découverte du théâtre de l’origine.

Une pièce de Lucie Lataste • Avec Aleksi Bernheim, Douglas Freire-Carrasqueira, Lisa Martin, Julia Pelhate • Dramaturgie Alexandre Bernhardt • Traduction Aleksi Bernheim, Douglas Freire-Carrasqueira, Lisa Martin, Julia Pelhate, Sophie Scheidt • Voix off Lucie Lataste • Assistante voix Off Fanny Violeau • Composition musicale & violoncelle Maxime Dupuis • Création lumière Marine Levey • Régie plateau Didier Salvan • Régie son Verlaine Lévy • Régie générale Guillaume Lajudie • Construction Michaël Labat • Atelier décors du ThéâtredelaCité • Costumes Nathalie Trouvé • Atelier costumes du ThéâtredelaCité • Production & Diffusion Audrey Charrière // L’Écluse • Administration Faustine Aliot // L’Écluse • Photographie Marie Hyvernaud.

Production Association l’Ecluse / Cie DDS-Lucie Lataste. Coproductions ThéâtredelaCité – CDN Toulouse Occitanie Théâtre du Grand Rond – Toulouse International Visual Théâtre – Paris Le Cratère Scène nationale – Alès Collectif En jeux – Occitanie. Partenaires Nouvelle Digue-Compagnie 111 – Toulouse Le Parvis – Scène nationale Tarbes-Pyrénées MJC Empalot – Toulouse Théâtre Sorano Scène conventionnée – Toulouse Gare aux artistes – Montrabé Le Périscope – Nîmes Soutiens DRAC Occitanie Région Occitanie Département de la Haute-Garonne Ville de Toulouse ADAMI.

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