Partie 1 : Les Chérubins
Le cas général d’une enfance en souffrance
Partie 2 : Le Parricide
La fratrie Karamazov, une fratrie blessée : être “fils de” Fiodor Pavlovitch Karamazov
Sophie Adoue nous invite à une plongée iconoclaste, poétique et musicale, dans le roman et la langue polyphonique de Dostoïevski, bien éloignée d’une adaptation théâtrale classique et de toute approche narrative. C’est à partir du thème de l’enfance blessée et humiliée qu’elle explore librement l’intrigue à la fois policière et métaphysique de la fratrie perdue des frères Karamazov, animée par la haine du père et la tentation du Parricide.
Le problème moral de la souffrance de l’enfant est ici la question fondamentale : battu, torturé, violenté par les adultes et la société, ou tout simplement par la malchance de la vie… Pourquoi la violence, lorsqu’elle s’exerce contre un enfant, paraît-elle particulièrement scandaleuse ?
Cette création à la distribution entièrement féminine, une violoniste et quatre comédiennes, fait résonner avec fulgurance la fantasmagorie karamazovienne et ouvre à une expérience contemplative radicale.
Saison 21/22
Expérimentation Karamazov(s) [L’Intégrale]
Théâtre et musique
SUPERNOVA #6
À partir du roman « Les frères Karamazov » de Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski, dans la traduction d'André Markowicz / Sophie Adoue / Compagnie Un Homme s’énerve
Durée 3h45
Partie 1 : Les Chérubins
Le cas général d’une enfance en souffrance
Partie 2 : Le Parricide
La fratrie Karamazov, une fratrie blessée : être “fils de” Fiodor Pavlovitch Karamazov
Sophie Adoue nous invite à une plongée iconoclaste, poétique et musicale, dans le roman et la langue polyphonique de Dostoïevski, bien éloignée d’une adaptation théâtrale classique et de toute approche narrative. C’est à partir du thème de l’enfance blessée et humiliée qu’elle explore librement l’intrigue à la fois policière et métaphysique de la fratrie perdue des frères Karamazov, animée par la haine du père et la tentation du Parricide.
Le problème moral de la souffrance de l’enfant est ici la question fondamentale : battu, torturé, violenté par les adultes et la société, ou tout simplement par la malchance de la vie… Pourquoi la violence, lorsqu’elle s’exerce contre un enfant, paraît-elle particulièrement scandaleuse ?
Cette création à la distribution entièrement féminine, une violoniste et quatre comédiennes, fait résonner avec fulgurance la fantasmagorie karamazovienne et ouvre à une expérience contemplative radicale.
Conception, mise en scène et direction d’acteur Sophie Adoue • Interprétation Yasmina Benjelloun, Laetitia Boyault, Laurie Montamat, Lili Payré • Violon : création et interprétation musicale Lucie Laricq • Direction du travail vocal & cheffe de choeur Laetitia Boyault • Lumières et régie générale Fabien Le Prieult • Photographie et visuels Visages Vagabonds.
Production Cie un homme s’énerve. Coproduction Théâtre Sorano. Spectacle réalisé dans le cadre du Dispositif expérimental d’aide à la création – Résidences dans les territoires – Printemps 2021, mis en œuvre et financé par le Conseil départemental de la Haute-Garonne en application de sa politique culturelle, avec le soutien de la Commune de Léguevin. Accueils en résidence Théâtre Sorano (31) – Ring-scène périphérique (31) – Théâtre le Hangar (31) – Espace Roguet – Conseil départemental de la Haute-Garonne (31) – Mix Art Myrys (31) – Espace Bonnefoy (31) – La Gare aux Artistes (31) – MJC Empalot (31) – La Brique Rouge (31) – Le Tracteur (31) – Pari-Tarbes en scène (65) – Maison Folie Beaulieu (59) – Théâtre le Colombier (81) – Pôle les Bazis (09).