Jacques, la cinquantaine, est au chômage et cycliste depuis peu. Ses journées à vélo l’emmènent de plus en plus loin de chez lui, jusqu’à ce qu’un jour il arrive au petit village de Gogueluz. Il se liera d’affection pour l’endroit, y retournera, en tombera amoureux comme l’on tombe amoureux de quelqu’un, et entrera dans une spirale de rencontres et de malentendus, jusqu’à l’irréparable. Un meurtre, puis un deuxième. Étrangement, devenir criminel ne lui posera pas tant de soucis. Sa rédemption viendra de l’amour inconditionnel d’un curé…
Et j’en suis là de mes rêveries est une adaptation théâtrale du roman Rabalaïre d’Alain Guiraudie. Sur la scène pensée comme un plateau de cinéma, Maurin Ollès y retrouve Pierre Maillet, quelques années après Letzlove – Portrait(s) Foucault*, cette fois-ci en inversant les rôles metteur en scène/acteur. Un spectacle où l’on pénètre dans le flux de pensée et la langue poétique, cocasse, parfois absurde, et souvent politique de Jacques, ainsi que dans l’univers social et onirique de l’immense cinéaste Alain Guiraudie dont l’ensemble de l’œuvre infuse cette création.
*Maurin Ollès a aussi présenté son travail de metteur en scène avec Vers le spectre à SUPERNOVA 2021.
Et j’en suis là de mes rêveries
Théâtre
Maurin Ollès / Compagnie La Crapule
Théâtre Sorano
Durée estimée 1h30
Jacques, la cinquantaine, est au chômage et cycliste depuis peu. Ses journées à vélo l’emmènent de plus en plus loin de chez lui, jusqu’à ce qu’un jour il arrive au petit village de Gogueluz. Il se liera d’affection pour l’endroit, y retournera, en tombera amoureux comme l’on tombe amoureux de quelqu’un, et entrera dans une spirale de rencontres et de malentendus, jusqu’à l’irréparable. Un meurtre, puis un deuxième. Étrangement, devenir criminel ne lui posera pas tant de soucis. Sa rédemption viendra de l’amour inconditionnel d’un curé…
Et j’en suis là de mes rêveries est une adaptation théâtrale du roman Rabalaïre d’Alain Guiraudie. Sur la scène pensée comme un plateau de cinéma, Maurin Ollès y retrouve Pierre Maillet, quelques années après Letzlove – Portrait(s) Foucault*, cette fois-ci en inversant les rôles metteur en scène/acteur. Un spectacle où l’on pénètre dans le flux de pensée et la langue poétique, cocasse, parfois absurde, et souvent politique de Jacques, ainsi que dans l’univers social et onirique de l’immense cinéaste Alain Guiraudie dont l’ensemble de l’œuvre infuse cette création.
*Maurin Ollès a aussi présenté son travail de metteur en scène avec Vers le spectre à SUPERNOVA 2021.
d’après Rabalaïre d‘Alain Guiraudie • Avec Pierre Maillet et Maurin Ollès • Participation en images de Ferdinand Garceau, Jean-François Lapalus et Julien Villa • Ecriture et adaptation Ferdinand Garceau, Pierre Maillet, Maurin Ollès • Mise en scène et réalisation Maurin Ollès • Production et assistanat réalisation Julie Lapalus • Dramaturgie et script Ferdinand Garceau • Scénographie et costumes Zouzou Leyens • Lumière et régie générale Bruno Marsol • Son Manon Amor • Diffusion et regard extérieur Aurélia Marin • Construction Marc de Frise • Stage maquette Yuna Choï • Image Lucas Palen • Assistanat caméra Micaela Albanese • Montage image Mehdi Rondeleux • Prise de son Arnold Zeilig • Perche Paul Guilloteau • Montage son et mixage Tiphaine Depret • Décors et accessoires Nissa Abaoui • Régie Mélaine Jonckeau • Etalonnage Erwan Dean • Musique originale et cuisine Bédis Tir • Musique générique de fin Simon Averous
Production La Crapule. Coproductions Les Gens Déraisonnables (Parmi les Lucioles) / Rennes, La Comédie de Colmar – CDN Grand-Est Alsace, Les Célestins – Théâtre de Lyon, Théâtre de La Bastille, Théâtre de Sartrouville et des Yvelines – CDN, NEST Théâtre – CDN de Thionville Grand-Est, Théâtre Sorano – Scène conventionnée de Toulouse, Réseau Puissance 4Soutiens Maisons Mainou de Genève, la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon – Centre national des écritures du spectacle, Ministère de la Culture-DRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur, Département des Bouches-du-Rhône, Carte blanche aux artistes de la Région Sud, Ville de Marseille. Remerciements Les éditions P.O.L, Gwenola Loric, Arnaud Richer, Marguerite Guillard Richer, Mairie de Cagnac-du-Causse, Jules Follet, Livia Spinga, Sébastien Saintigny, Stéphanie Selva, Michel Bergamin, Claude Mouriéras – La CinéFabrique, Marie Lesay – Rue de La Sardine, Alberto Ploquin, Clara Bonnet, Augustin Bonnet, Phillipe et Marina Jonquières, Anne Fischer, Matthieu Cruciani, Marcial Di Fonzo Bo, Nicolas Mesdom, Thomas Nicolle, DC Audiovisuel, Arsud.