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Après avoir découvert l’écriture au scalpel de Laurène Marx avec Pour un temps sois peu, nous l’accueillons avec joie en personne au Sorano dans son nouveau spectacle où elle fait résonner un texte puissant qui oscille entre la naïveté d’un conte enfantin et la brutalité pragmatique d’une prose directe et crue.
Nikki vit dans une maison qui n’existe pas. Dans la maison qui n’existe pas il y a : Madame Monstre, Les Tout Petits, et Nuage le nuage. Il n’y a pas longtemps, Nikki est rentrée dans une grande colère et elle cherche à présent ce qu’elle a perdu : son calme…
À travers la ronde schizophrène des figures qui peuplent sa maison, la pièce tisse le portrait de la psyché d’une personne souffrant de troubles dissociatifs de la personnalité. Elle ouvre une fenêtre sur la gestion des traumatismes de l’enfance, l’inertie du système psychiatrique et la nécessité de fragmenter sa personnalité pour survivre à un monde où les personnes neuroatypiques se sentent exclues, inadaptées et irrécupérables.
Intense et fulgurante, Laurène Marx, sur scène, suspend l’instant, le trouble et confirme la puissance sensible et magnétique d’un style aussi personnel que déflagrateur.

Vendredi 22 et samedi 23 novembre • 21h

Je vis dans une maison qui n’existe pas

Théâtre

SUPERNOVA #9

Laurène Marx / Cie Hande Kader


Théâtre Sorano

Durée estimée 1h15


Après avoir découvert l’écriture au scalpel de Laurène Marx avec Pour un temps sois peu, nous l’accueillons avec joie en personne au Sorano dans son nouveau spectacle où elle fait résonner un texte puissant qui oscille entre la naïveté d’un conte enfantin et la brutalité pragmatique d’une prose directe et crue.
Nikki vit dans une maison qui n’existe pas. Dans la maison qui n’existe pas il y a : Madame Monstre, Les Tout Petits, et Nuage le nuage. Il n’y a pas longtemps, Nikki est rentrée dans une grande colère et elle cherche à présent ce qu’elle a perdu : son calme…
À travers la ronde schizophrène des figures qui peuplent sa maison, la pièce tisse le portrait de la psyché d’une personne souffrant de troubles dissociatifs de la personnalité. Elle ouvre une fenêtre sur la gestion des traumatismes de l’enfance, l’inertie du système psychiatrique et la nécessité de fragmenter sa personnalité pour survivre à un monde où les personnes neuroatypiques se sentent exclues, inadaptées et irrécupérables.
Intense et fulgurante, Laurène Marx, sur scène, suspend l’instant, le trouble et confirme la puissance sensible et magnétique d’un style aussi personnel que déflagrateur.

Texte, mise en scène et jeu Laurène Marx • Collaboration artistique Fanny Sintès • Assistante à la mise en scène Jessica Guilloud • Création sonore Nils Rougé • Création lumière Kelig Le Bars • Régie lumière Gabrielle Marillier • Régie son Nils Rougé.

Production : Cie Je t’accapare / Bureau des Filles. Coproduction : Théâtre Ouvert, Théâtre National de Strasbourg, CCN de Rennes – Collectif FAIR-E, Bain Public – St Nazaire, Maison Poème – Bruxelles. Avec le soutien du Ministère de la Culture – DRAC Pays de Loire, et du département Loire-Atlantique.