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Difficile de parler de « spectacle ». Plutôt d’une plongée passionnante dans le laboratoire perpétuel du Groupe Scalpel alliant performance d’écriture, rire-tragique, bio-ingénierie, et interface humain-machine. Quatre « cyborgs transféministes », une écrivaine, un·e roboticien·ne, une musicienne et des IA, tentent de coopérer pour créer en live un film et sa musique. Les écrans des créateurices sont vidéoprojetés afin que le public puisse suivre leurs avancées qu’elles commentent en direct.
Tout au long de cette performance imaginée par l’écrivaine / performeuse Romane Nicolas, les humaines échangent et performent autour des rapports humains / non-humains, normes / a-normes dont elles sont victimes au quotidien, mais aussi de la puissante cyborgisation de leurs corps. Chaque soir l’œuvre créée est différente.
Chaque soir est une première, puisqu’entre les représentations, l’équipe mène un laboratoire de recherche avec des scientifiques pour recréer cette performance à l’aune des avancées technologiques. Un processus de création fascinant qui interroge puissamment la relation humain/machine.

Un premier laboratoire de Que la machine vive en moi avait été présenté à La Cave Poésie en 2023. Une maquette a été présentée dans le cadre du festival FRAGMENTS #12 – (La Loge).

Saison 24/25
Jeudi 14, vendredi 15 novembre • 19h et samedi 16 novembre • 16h

Que la machine vive en moi

Théâtre

SUPERNOVA #9

Romane Nicolas / Groupe Scalpel


Spectacle présenté avec et au Théâtre Jules Julien

Durée 1h30

 


Difficile de parler de « spectacle ». Plutôt d’une plongée passionnante dans le laboratoire perpétuel du Groupe Scalpel alliant performance d’écriture, rire-tragique, bio-ingénierie, et interface humain-machine. Quatre « cyborgs transféministes », une écrivaine, un·e roboticien·ne, une musicienne et des IA, tentent de coopérer pour créer en live un film et sa musique. Les écrans des créateurices sont vidéoprojetés afin que le public puisse suivre leurs avancées qu’elles commentent en direct.
Tout au long de cette performance imaginée par l’écrivaine / performeuse Romane Nicolas, les humaines échangent et performent autour des rapports humains / non-humains, normes / a-normes dont elles sont victimes au quotidien, mais aussi de la puissante cyborgisation de leurs corps. Chaque soir l’œuvre créée est différente.
Chaque soir est une première, puisqu’entre les représentations, l’équipe mène un laboratoire de recherche avec des scientifiques pour recréer cette performance à l’aune des avancées technologiques. Un processus de création fascinant qui interroge puissamment la relation humain/machine.

Un premier laboratoire de Que la machine vive en moi avait été présenté à La Cave Poésie en 2023. Une maquette a été présentée dans le cadre du festival FRAGMENTS #12 – (La Loge).

Écriture et performance Romane Nicolas, Clarice Boyriven • Musique et performance Flor Paichard • Son-Vidéo et performance Arthur, “1, mantisse”, Vervier-Dasque • Contrôle technique et dramaturgie Élio Jacquel • Administration et diffusion Héloïse Gaubert.

Production : Groupe Scalpel.
Coproduction : Théâtre Sorano-Scène conventionnée (Toulouse), Le Tracteur – Le Champs des possibles.
Partenaires : Quai des savoirs, Occitanie Livre et Lecture, Fonds Trans Révolutionnaire, Chartreuse – CNES de Villeneuve lez Avignon, Cave poésie – René Gouzenne, Théâtre Jules-Julien, Festival Démostratif.

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