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Le Denisyak est une hydre à deux têtes (Erwan Daouphars / Solenn Denis) s’acoquinant, de création en création, avec différents artistes qui se mettent en action autour des pièces de Solenn Denis. Ode au difforme, au monstrueux, aux folies anodines, grandiloquentes ou tragiques comme lieu d’humanité pure et théâtrale, l’écriture acérée de Solenn Denis travaille les névroses familiales, les destins mal foutus, les faits divers vénéneux…

Deux spectacles pour découvrir l’univers puissant du Denisyak ! SStockholm et Sandre les 15 et 16 novembre.

SStockholm s’inspire de l’histoire de la séquestration de Natasha Kampusch retenue plus de huit ans en captivité. Mais plus encore qu’un fait divers, la pièce traite de l’enfermement quel qu’il soit.

Solenn Denis signe un texte brut, sans compromission, presque clinique qui plonge dans les névroses de deux êtres, les noirceurs de leur âme, creuse au plus profond afin de décortiquer les mécanismes qui régissent le couple prisonnière / geôlier. Sans excuser la violence du crime, l’enfer de la séquestration, elle esquisse dans ce récit âpre la frontière fragile entre fantasme et passage à l’acte, entre soumission et rébellion, entre amour et haine. Dans la promiscuité imposée par le dispositif scénographique très intimiste, les comédiens, magistraux, nous donnent à sentir l’insoutenable. Une immersion glaçante et décapante dont la brutalité est nécessaire, la rudesse salvatrice !

Saison 19/20

vendredi 15 novembre • 23h, samedi 16 novembre • 22h

SStockholm

Théâtre

SUPERNOVA #4

Solenn Denis / Création collective -  Le Denisyak et Faustine Tournan


Théâtre Sorano
Durée 1h

Attention petite jauge !


Le Denisyak est une hydre à deux têtes (Erwan Daouphars / Solenn Denis) s’acoquinant, de création en création, avec différents artistes qui se mettent en action autour des pièces de Solenn Denis. Ode au difforme, au monstrueux, aux folies anodines, grandiloquentes ou tragiques comme lieu d’humanité pure et théâtrale, l’écriture acérée de Solenn Denis travaille les névroses familiales, les destins mal foutus, les faits divers vénéneux…

Deux spectacles pour découvrir l’univers puissant du Denisyak ! SStockholm et Sandre les 15 et 16 novembre.

SStockholm s’inspire de l’histoire de la séquestration de Natasha Kampusch retenue plus de huit ans en captivité. Mais plus encore qu’un fait divers, la pièce traite de l’enfermement quel qu’il soit.

Solenn Denis signe un texte brut, sans compromission, presque clinique qui plonge dans les névroses de deux êtres, les noirceurs de leur âme, creuse au plus profond afin de décortiquer les mécanismes qui régissent le couple prisonnière / geôlier. Sans excuser la violence du crime, l’enfer de la séquestration, elle esquisse dans ce récit âpre la frontière fragile entre fantasme et passage à l’acte, entre soumission et rébellion, entre amour et haine. Dans la promiscuité imposée par le dispositif scénographique très intimiste, les comédiens, magistraux, nous donnent à sentir l’insoutenable. Une immersion glaçante et décapante dont la brutalité est nécessaire, la rudesse salvatrice !

Texte Solenn Denis • Mise en scène Création collective –  Le Denisyak et Faustine Tournan • Avec Erwan Daouphars, Faustine Tournan, Solenn Denis • Scénographie Éric Charbeau et Philippe Casaban • Création lumière Yannick Anché • Création sonore Jean-Marc Monteran • Regard chorégraphique Alain Gonotey • Construction décors Nicolas Brun et Stéphane Guernouz • Ce texte, publié aux éditions Lansman, a reçu la Bourse d’encouragement du CNT 2011 et le Prix Godot 2012.

Reprise de production Théâtre national de Bordeaux en Aquitaine et Le Denisyak. Production Compagnie du Soleil Bleu (dans le cadre de la Pépinière du Soleil Bleu-Glob Théâtre). Coproduction IDDAC – Institut Départemental de Développement Artistique et Culturel – Gironde, OARA – Office Artistique de la Région Aquitaine, Glob Théâtre – Bordeaux. Soutien financier de la DRAC-Aquitaine, de l’ADAMI et de la Ville de Bordeaux. Remerciements La Chartreuse de Villeneuve lès Avignon, La Factorie – Val de Reuil. Avec le soutien de l’OARA.