Souvenir(s), souvenir(s)

Écrivez-nous ! C’est quoi votre plus beau souvenir de spectacle ? Votre plus belle émotion au Sorano ?

Nous vous proposons de nous écrire en quelques lignes (10 max – 800 signes) pour nous raconter un spectacle qui vous a particulièrement touché ou bousculé ces dernières saisons au Sorano.
Nous sommes curieux de vos retours ! Nous publierons vos textes accompagnés d’une photo du spectacle sur notre site.
Envoyez-nous vos témoignages à l’adresse karine.chapert@theatre-sorano.fr

« Bonjour,
J’espère que vous allez tous bien et que le temps se remplit de nouvelles choses après cet arrêt brutal.
Un petit message :
Bigre ! même sans parole ou sans voix, le théâtre est toujours un moment hors du temps et un nouveau point de vue pour regarder la vie
Stallone, donne-nous ton courage pour faire face à ces événements de la vie et croyons à nos rêves !
Cocorico, des activités sont stoppées mais d’autres sont relocalisées !
Espérons que l’éveil du printemps va s’installer à la place de ce petit machin qui a bouleversé nos vies
A vif, j’essaie de repenser à toutes ces pièces que j’ai vues au Sorano et toutes m’ont apporté quelque chose, ne serait-ce que quelques minutes d’évasion !

Bon courage à toute l’équipe ! »

Frédérique, 6 avril 2020


CEUX QUE J’AI RENCONTRÉS NE M’ONT PEUT ÊTRE PAS VU – NIMIS Groupe

« J’ai été particulièrement marquée par une pièce dont j’ai réussi à oublier à la fois le titre et le nom du collectif qui l’a créée… Il s’agissait d’une pièce sur la question des migrants dont le concept était de dénoncer des faits socio-politiques dans une démarche participative. Ce spectacle avait été créé sur un an avec de « vrais » migrants et tout ce qui était dit était vrai… J’ai été particulièrement marquée et émue. Marquée parce que j’ai appris que la question des migrants arrangeait bien les multinationales qui fabriquent les matériaux utilisés pour renforcer les frontières (je n’avait jamais vu les choses sous cet angle), émue par les récits des migrants eux-mêmes qui mettaient en évidence les paradoxes et la violence de cette situation (notamment pour obtenir le statut de réfugié politique).
Merci le Sorano ! Et vivement la prochaine saison 😉 »

Marie-Christine, 2 avril 2020


PHÈDRE – Racine/Brigitte Jaques-Wajeman

« Ce souvenir n’existe pas encore. Nous serions venus de loin pour écouter Phèdre, et revoir Toulouse après une douzaine d’années.
Le spectacle n’a pas eu lieu, mais du fond des coulisses un murmure espère. »

Eric, 1er avril 2020